[RP] Sus a l'ennemi de mon Suzerain.

Comte de Villers-Buzon Nombre de messages : 290 Date d'inscription : 04/04/2007

Le comte était toujours dans son QG, il attendais et regardais la carte. Il se souvenait d'un entraînement où il donnait ses instructions et où Apruncule, l'un de ses lieutenants lui avait répondu : "Faut arrêter ces conneries de nord et de sud ! Une fois pour toutes, le nord, suivant comment on est tourné, ça change tout !" Sacré Apruncule.

En pensant à une telle bêtise, le comte se souvient de ce que lui avait dit son cousin Uruk une fois : "Au printemps, j’aime bien pisser du haut des remparts au lever du soleil… Y’a une belle vue !". Heureusement que l'on n'était pas au printemps. Le pauvre il se serait ridiculisé devant des milliers de personne.

Le comte attendait. Il savait qu'il allait venir. Il ne pouvait en être autrement. Il ne manquait plus que lui. Quand tout à coup, Zwentibold, l'un de ses éclaireurs entra au pas de course dans le QG.

Messire, mon bon Comte, Rougemont, il arrive.

Il le savait que son ami ne ferait pas défaut. Il se prépara a l'accueillir comme il se devait, en allié. Et lorsqu'il entendit : Veuillez annoncer la présence du Baron Greenwarrior de Rougemont et son armée à votre Chef si vos vigies ne l'ont pas fait... ET AU PAS DE CHARGE!!! lLe comte avait un grand sourrire dessiné sur les lèvres et sortit à la rencontre du baron de Rougemont.

Mon ami, tu est venu. Je n'en doutais pas une seconde. Nous t'attendions pour la bastaille contre ce castel. Ce coquebert de couard d'Uruk se rendra ou le castel ardera.

Puis le comte alla rejoindre sa monture, Tornado, pour se préparer à la bataille, mais avant il se retourna vers Green.

J'oubliais, on a vu fillote dans le chateau, elle a voulu nous balancer de l'huile. Il me semblait pas que tu l'avais éducquée comme cela Wink

Debenja se rendit une dernières fois devant les remparts, en galoppant d'un côté à l'autre des remparts. Puis il se mit à crier :

Baronnet Uruuuuuuuuuuuuk. Mécréant, viens donc te montrer si tu en as. Ce que je doute, vu que tu n'as pas encore de géniture. Aller viens montrer ta sale trogne ici et prestement. Tu as voulu vendre ma soeur sans mon aquiescement.

Le Comte continua a galopper d'un côté à l'autre du rempart.

Tu vas venir, espère de chiabrena. Je vais te faire passer l'envie de vendre ce qui ne t'appartient pas. Tu as jusqu'à la brune pour te rendre, sinon on fera une bonne flambée du chateau. C'est pas la malemaisnie qui est avec toi qui te défendra. Vous êtes foutu. Rend toi.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2008

Green s'agenouilla face à son comte.

mon Comte, je ne pourrai jamais me permettre l'afront de ne pas vous venir en aide. De plus, j'ai une blondinette, créatrice d'apoplexie paternelle à récupérer.

Tout en portant son étendard, il chevauchait aux côtés de Debenja afin d'apporter sa protection et...

ALEKS1611, Tu sors de ce château prestement!!! Si l'andouille ne veut pas assumer ni ses actes, ni ses sentiments, alors tu n's rien à faire avec lui.

Mon Comte, m'en voudriez-vous beaucoup si Sirius souffrait de mes mains?

Il profitait de la cavalcade pour jeauger les effectifs présents sur les remparts et en haut des tours.

Alors qu'elle était aux cuisines, supervisant la chauffée des marmites d'huiles - bien que la bonne cuisinière avait d'abord protesté en arguant à raison le prix de cette denrée pour le moins utile -, elle entendit un bruit là, au dehors, le son d'une corne de brume.

Sans doute les pleutres du camp d'en face recevaient quelques renforts, n'osant affronter le chateau seuls... Elle eut un petit rire à cette pensée, les yeux fixés sur la marmite d'huile qui brûlerait bientôt le postérieur nauséabond de Dwiral... Que croyait-il... Qu'on pouvait l'insulter comme ça ? Ah, il rirait moins, tout à l'heure, quand commencerait la longue période où il ne pourrait plus s'asseoir sans ressentir les plus immondes douleurs, dans un endroit tout aussi immonde, soit dit en passant.

Elle était toujours là, les yeux dans le vague de la marmite, à imaginer le pauvre Dwiral pleurnicher en taverne parce qu'il était forcé de rester debout, quand un son bien différent lui fit perdre le sourire. Cette voix... Son visage pâlit tout à coup, ses yeux semblèrent s'écarquillèrent, et un frisson passa sur tout son corps, finissant sur son crâne où ses cheveux se dressèrent d'effroi, à tel point que la cuisinière, raleuse, mais bonne tout de même, sembla s'inquiéter :

- Ca va pas, ma Dame ? Elle veut boire quelque chose ?

La domestique eut un petit sourire condescendant et ajouta malicieusement :

- Elle a peut-être pris froid ? Faut dire qu'elle est pas bien couverte...

Rien de mieux qu'une telle phrase pour faire revenir la couleur aux joues de la jeune femme, qui passa d'une pâleur de cadavre à un rouge écarlate. Elle ne répondit rien, et s'approcha de la fenêtre. Pas de doute, ses oreilles n'avaient pas menti, c'était bien son père, qui se trouvait en bas, elle distinguait d'ailleurs parfaitement l'étendard de Rougemont flottant à côté de lui.

- Oh mon Dieu...

La situation était critique. Son père la réclamait, là, en bas. Si elle descendait, elle était humiliée, si elle restait, elle était morte. Quoique... La mort était une hypothèse très possible, même si elle descendait, mais elle serait au moins précédée d'une explication... Du moins elle l'espérait... Aleks eut un sursaut, et s'éloigna brusquement de la fenêtre, comme si elle avait peur que son père, d'en bas, puisse la voir et venir la chercher. Vite, trouver une solution. Vite. Inventer un bobard ? Pfiou... Elle eut un vertige en imaginant la taille du mensonge qu'il lui faudrait inventer pour essayer de justifier sa présence ici.

Bon, pas de panique. D'abord, changer de tenue. Elle ne pouvait tout de même pas sortir ainsi, le mantel du Vicomte sur les épaules, ce serait de la pure provocation. Elle se tourna vers la cuisinière, et tenta de lui sourire et de sembler agréable...

- Dîtes-moi... Le vicomte ne vous paye pas des masses, je suppose... ?

La bonne femme parut surprise, mais répondit tout de même, heureuse d'entendre la jeune femme aborder un sujet qui lui tenait tant à coeur, et croyant peut-être que cette dernière pourrait intervenir pour elle auprès de son maître.

- Oh non, ma bonne Dame, vous savez, not' maitre est riche, mais quand même très près de ses sous...

Aleks ne la laissa pas continuer.

- Deux cents écus contre votre plus belle tenue.

La cuisinière ouvrit des yeux ronds comme des billes, puis elle fit signe à Aleks de la suivre. Elle marchèrent longtemps dans les couloirs du chateau, pour arriver dans une petite pièce miteuse et sordide à souhait, au mobilier on ne peut plus précaire. En effet, le Vicomte semblait près de ses sous... (:p) La bonne ouvrit une vieille armoire en découvrant une garderobe on ne peut plus vieille et usée, et lui fit signe de choisir. Dur choix pour la jeune femme, qui finit enfin par mettre la main sur une houppelande rouge, assez passable, sans doute c'était la tenue que la cuisinière gardait pour les grandes occasions. Certes, elle n'était pas d'un grand tisserand, mais elle était encore très présentable, et l'on n'aurait pas forcément deviné que sa propriétaire était domestique à Saulx...

- C'est parfait. Un homme viendra de Fontenelle vous payer demain, dans la matinée.

La bonne fit une courbette, laissa Aleks se changer, puis la reconduit jusqu'aux remparts. En bas, le Baron Rouge attendait toujours. La situation devenait urgente, il fallait rapidement trouver une solution. Un mensonge. Une explication. Une prière. Un miracle ? Qu'importe, mais quelque chose pour éviter de se faire enfermer dans un couvent jusqu'à la fin de ses jours... Son père ne comprenait pas... Pour lui, si le Vicomte refusait de l'épouser sur le champ, c'est qu'il ne l'aimait pas, qu'il s'était joué d'elle, et elle n'avait plus rien à faire avec lui. Mais qu'en savait-il ? Si le Vicomte ne l'épousait pas, il avait certainement ses raisons... Sa position ne lui laissait pas forcément le champ libre quand à sa vie, même sentimentale... Et puis il y avait une autre femme, du moins, la jeune femme s'en doutait très fortement, ayant entendu le cadet de Sirius discuter de cette dernière avec son ainé. Est-ce qu'il l'aimait, elle ? Est-ce qu'il aimait les deux ? Et s'il ne l'aimait pas, elle, Aleks, est-ce que Negan seule justifiait une union où les sentiments seraient à sens unique ? Non, la situation était bien trop complexe pour un jugement aussi rapide.

La jeune femme cligna des yeux un instant, comme pour sortir d'un songe, et sourit en se traitant tout bas de bête. Elle n'espérait tout de même pas convaincre son père avec une telle explication ? Enfin... elle n'avait rien. Pas de mensonge, rien. Il faudrait improviser. Quant à l'humiliation... Diantre, être humiliée ou être tuée par son père, le choix était vite fait. Quoique...

Et l'idée vint. Elle se pencha un instant au dessus de la muraille, apercevant son père en bas. Ne lui laissant pas le temps de crier, elle s'exclama :

- Papa, je ne fais rien de mal ! Le Vicomte de Saulx m'a fait convier au chateau pour que nous planifions un voyage futur en Bourgogne, auprès de son père, avec toi, afin que nous puissions régler... l'affaire qui vous contrarie. J'étais donc sagement en train de planifier les détails de ce voyage, quand j'ai entendu un de tes alliés m'insulter. Devais-je laisser piétiner mon honneur par ce vil personnage ?! Est-ce ce que je devais faire ?!

Dévalant avec une extrême rapidité les marches en pierre du Castel, en manquant à plusieurs reprises de se mêler les pieds dans les pans de sa robe sombre, elle arriva enfin à destination, son souffle légèrement coupé à cause de sa course, une fine lettre scellée enfouie dans ses mains. Sur le morceau de parchemin destiné au Vicomte Sirius, on pouvait lire quelques paroles annonçant à l'homme qu'elle arriverait bientôt... Bella demanderait à son cocher de faire une halte quelque part pour pouvoir l'envoyer par pigeon.
D'un regard circulaire, elle parcourra l'emplacement à la recherche d'un quelconque valet. Mais où pouvaient-ils tous se trouver ?
Sûrement en train de jouer au Ramponneau dans les cuisines, tout en se faisant servir par les ravissantes cuisinières du Domaine. Mouarf ! Tous des incapables ici ! Sachant pertinemment qu'elle ne les trouverait pas et qu'elle était déjà en retard pour son départ, elle se précipita à l'extérieur, en prenant bien soin de proliférer quelques menaces pour les fameux laquais.

Ah ! Ils ne manquent rien pour attendre ceux-là ! Dès mon retour, ils auront une petite surprise, ils verront si ils vont s'amuser pendant que j'ai besoin d'eux, alors que je les paye pour ça.

Ses joues s'enflammèrent un court instant, puis redevinrent plus pâles au contact du froid. L'air était saturé de trainées blanches qui tournoyaient, ces dernières se posant avec légèreté sur la cape en laine de la jeune femme. Bella soupira longuement et s'arrêta soudainement quand elle intercepta à l'aide de ses saphirs son cocher à travers toute cette neige, positionné près de l'écurie. Ses yeux s'illuminant d'étincelles, elle lui signala de la main de préparer la voiture pour rejoindre la Franche-Comté. Pendant ce temps, elle dégringola les marches en faisant néanmoins attention à ne pas glisser à cause du verglas... Il ne fallait pas qu'elle se blessasse avant son départ tout de même !
Arrivée en bas de l'escalier devenu blanc, elle fut ravie de constater que le coche était prêt à l'accueillir. Décidément, Arthurios -le cocher bien évidemment- était parfait dans son rôle !
D'un ample geste sec, elle apporta la capuche de sa mante sur sa chevelure brune aux reflets ambrés et s'engouffra sans attendre dans le carrosse, heureuse de se retrouver au chaud, loin de tous ces flocons. La Dame de Granges sentit une petite secousse, lui indiquant ainsi le départ tant attendu pour rejoindre le Domaine de Saulx... Anxieuse mais pressée d'y être.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2008

Mais Green se demandait vraiment ce qui passait dans la tête de sa fille en ce moment. Etait-ce une crise d'adolescence tardive? Il fallait avouer que de ce côté là, Kaya et Green n'en avait que fort peu souffert lors de l'enfance de leur bien aimée enfant. A peine un laboratoire explosé, une forge détruite et une chausse trouée. Mais là...

Oh bien sûr elle était grande mais en qualité de père, le Baron Rouge se devait de préserver la vertu et l'honneur d'Aleks1611.

Soit, mais en attendant, tu rentres au domaine. Je ne veux pas te voir avec quelqu'un qui profite de toi!!!

Une fois que l'affaire sera rêglée, nous aviserons. Sors de ce château maintenant.

Puis il s'adressa à son Comte Debenja.

Sire, je ne sais trop le motif de la présence de vos armées, je met la mienne à votre disposition si vous le souhaitez et si vous m'en dîtes plus mais pitié, au nom d'Aristote, faites en sorte que rien n'arive à ma fille.

Rentrer au domaine... Quelle humiliation... Passer là, devant les troupes du grossier personnage qui l'avait insulté, en jouant les gentilles fifilles à son papa... Certes, elle l'était, une gentille fifille à son papa, obéissante et soumise, le plus souvent (bon... de temps en temps, alors), mais était ce une façon pour le montrer maintenant, à un moment aussi critique ? Maudit soit ce Dwiral. Maudite soit aussi sa descendance, si un jour une paysanne ivre morte le laissait profiter de ses charmes au coin d'une rue sans crier au meurtre... chose qui n'avait que peu de chances d'arriver. La jeune femme réfléchissait, c'était encore ce qu'il y avait à faire de mieux dans cette situation. Pas de doute, si ç'avait été son père, et non son époux, qui était venu la chercher, Hélène aurait longuement hésité à rester chez les Troyens.

Pendant que la jeune femme attendait un miracle descendu du ciel pour l'empêcher de devoir prendre une décision, deux hommes de Saulx arrivaient, portant une énorme marmite, chacun d'un côté. Ils la posèrent à quelques mètres de la jeune femme, s'essuyèrent le front et reprirent leur souffle d'avoir trimballé un tel fardeau des cuisines jusqu'aux remparts, et firent mine de vouloir le lever pour le renverser sur les gens d'en bas.

- Si vous levez davantage cette marmitte, dit la jeune femme d'un ton sec, je serais dans le regret de devoir vous faire écarteler dès demain. J'espère que vous avez d'ores et déjà pris toutes les dispositions nécessaires à votre disparition ?

Surpris, mais rapidement convaincus, les gardes lachèrent la marmitte et se regardèrent, penauds... Ils n'y comprenaient plus rien, la Dame avait elle même réclamé une pleine marmitte d'huile bouillante à déverser sur la tête des pignoufs d'en bas, et maintenant, elle prétendait qu'elle ferait payer cher celui qui s'y risquerait ? Et ben... L'vicomte avait bien raison quand il disait que les femmes étaient trop compliquées.

Compliquée, peut-être, mais surtout horriblement contrariée, la jeune femme réfléchissait toujours, alors que les gardes, toujours à quelques mètres d'elle, n'osaient filer, n'osaient rester, se contentaient de se regarder en se demandant mutuellement du regard ce qu'ils faisaient là. Finalement, elle se tourna vers eux, et leur dit simplement, mais sur un ton encore plus sec que précedemment :

- Allez me chercher le Vicomte. Tout de suite.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2008

DWIRRRAAAAALLLLLLL

De son côté, Green avait un petit détail à rêglé avant la suite des festi... des hostilités.
Il attendait donc son "fantassin" d'ami ( ) pour que justice soit faite de l'autre côté aussi... Insulter sa fille c''était insulter le Baron Rouge lui-même.

Mais, rien de bien méchant, il voulait juste entendre de sincères excuses de la bouche de Dwidwi.

DWIIIIIIIIII!!!! Viens ici!!

Du coin de l'oeil, Green regardait son comte en se demandant bien pourquoi il ne disait rien.

Sirius supervisait l'ensemble de la préparation de ses troupes. Des soldats super-entrainés, non pas à boire comme on pouvait l'imaginer, mais à charcuter, écrabouiller, découper, égorger, dépecer, déchiqueter, entailler, taillader, anéantir, broyer, démolir, pulvériser, briser, écorcher, maltraiter, dépouiller, occire, plumer, saigner, briser, casser et quand même un peu à boire. Le Vicomte passa donc ses troupes en revue et, mis à part quelques hommes qui n'avaient pas d'arme, ce qui était un peu embêtant pour des gens d'armes, et donc, la plupart étaient tout de même prêts. Prêts à défendre le domaine de leur si estimé maître qui les payait un épi de maïs par jour, ce qui était énorme au total, car si l'on compte bien, chaque servant de Saulx, qu'il soit valet, soldat ou autre, est payé pareil, donc on peut facilement en déduire que logiquement il y a intêret à y avoir beaucoup de champs de maïs dans le domaine, mais ce qui est encore plus paradoxal c'est que justement ces champs sont entretenus par des mecs payés eux-même un épi par jour, épis de maïs qui, je le rappelle, sont récoltés par eux-même. Enfin bref, c'est incompréhensible ce que je viens de dire et en plus tout le monde s'en fout. Donc je disais donc...Euh...Les soldats semblaient prêts à se battre. Voilà c'est ça.

Le Vicomte ordonna aux archers de se positionner en rang organisé sur les remparts, et de viser les fesses d'absolument tout le monde à l'extérieur mais de plus particulièrement Dwiral, surnommé Dwidwi le gros, justement à cause de la taille disproportionnée de ses fesses. Les soldats allaient facilement atteindre des fesses de cette taille...Au moins Sirius ne prenait pas de risque en mettant ses hommes à l'épreuve de cette façon, il était sûr qu'ils atteindraient leur cible.

Alors que le Vicomte donnait aux fantassins la consigne d'attendre derrière les grandes grilles pour donner le coup de grâce lorsque le moment sera venu, la Dame de Genevrey parvint à sa rencontre, lui remettant des parchemins. Le Vicomte la remercia, et lut le premier. La Dame de Sapois était en route. Parfait, parfait...A elle seule, elle pouvait exterminer toute la racaille présente aux abords du castel. Le deuxième parchemin contenait encore des mots dénudés d'intérêts, mais il ne pouvait en être autrement connaissant l'auteur de ces absurdités. Sirius chiffonna le parchemin et le jeta par terre, savant pertinemment qu'un laquais se chargerait de nettoyer, au bas prix d'un épi de maïs journalier en plus (Non promis je recommence pas avec ça). Il remonta les marches quatre à quatre, se demandant pourquoi cette histoire de maïs lui trottait tant dans la tête. Devrait-il revoir encore à la baisse la paye de ses hommes ? Un demi-épi semblait mieux adapté peut être...

Il n'eut pas le temps de s'interroger plus que cela : Des cris montaient des murailles, et on pouvait facilement reconnaître Greenwarrior !! Sirius serra les poings et se pencha au-dessus des remparts. Le Baron Rouge grognait toujours autant, après sa fille semblait-il. Il n'en pouvait en être autrement, et il en eut l'assurance lorsqu'il entendit le mot "andouille" sortir de sa bouche. Il ne manquait pas d'air celui-là, venir l'insulter carrément en son domaine... Alors que Sirius espérait que l'huile bouillante soit bientôt prête histoire que Green y goute en avant première, il fut interrompu une fois de plus dans ses pensées par deux gardes. Avant même qu'ils ne se fassent réprimander pour ne pas être à leur poste, ils expliquèrent rapidement que la Dame de Fontenelle voulait voir le Vicomte. Et c'était bien connu, il ne valait mieux pas faire attendre une femme. Sirius se dépêcha donc de rejoindre le côté des remparts indiqué par les gardes, non sans bien sûr avoir donné avant une taloche à ces abrutis qui n'étaient pas à leur poste. Il se posta devant elle avec un petit sourire gêné, ignorant le brouhaha que causait le père Rougemont tout en bas des remparts.

Quelques minutes à peine après qu'elle ait envoyé les gardes à la recherche du Vicomte, la jeune femme vit celui ci se présenter devant elle, un air visiblement quelque peu gêné sur le visage. Elle garda les yeux fixés en bas des remparts, et dit simplement :

- Sirius... me voilà dans une situation des plus désagréables.

Pas la peine d'ajouter d'explications supplémentaires, le Vicomte avait certainement entendu les sommations tonitruantes du Baron Rouge, posté là, en bas, et réclamant après sa fille. A présent, il appelait avec énergie Dwiral à ses côtés. Connaissant son père aussi bien qu'il la connaissait, la jeune femme se doutait que c'était pour qu'il présente publiquement ses excuses à sa fille. Et qu'il mette ainsi fin à la raison pour laquelle la jeune femme restait à l'intérieur du chateau.

- J'avoue que de voir guerroyer les hommes de Saulx ne me semblait pas un spectacle désagréable, mais à présent que mon père est de la partie... La donne est changée.

Elle réfléchissait toujours, espérant encore qu'une lumière venue des cieux vienne éclairer son esprit embrumé d'une solution idéale. Le Vicomte, de son côté, semblait s'impatienter. C'est qu'il avait des hommes à envoyer charcuter, et puis ces salaires à revoir à la baisse, ça prenait aussi pas mal de temps... Non, les Vicomtes avaient un emploi du temps bien plus chargé que ce que les simples Seigneurs devaient s'imaginer. Le voyant se dandiner d'une jambe à l'autre, la jeune femme comprit son impatience.

- Dans quelques minutes, l'individu infect qui m'a tout à l'heure insultée, et sur lequel nous rêvons tous deux de balancer des pleines marmittes d'huile bouillante avec, pourquoi pas, quelques croutons moisis, viendra certainement s'excuser ici même, sous les remparts. S'il le fait, je n'aurais sûrement d'autre choix que de suivre mon père sur le champ, et de quitter le castel.

Elle ajouta avec une voix teintée d'ironie :

- Vous comprendrez bien, en effet, que n'étant pas mariée, je dois le respect et l'obéissance davantage à mon père qu'à mon amant...

Elle réprima un sourire.

- Si Dwiral s'excuse, donc, je partirai et regarderai le spectacle d'une des tentes, en bas, sans cesser bien évidemment d'espérer la victoire de Saulx, quoique l'on puisse en dire. Si, en revanche, cet insecte ne consent pas à retirer ses paroles... [hrp : chose que je lui conseille, histoire qu'on rigole ^^/hrp] ...et bien... je me ferais une joie de commander les versements d'huile, d'ici-même.

Hochant la tête au fur et à mesure que la jeune femme parlait, Sirius voyait sur son visage une expression plutôt grave et sérieuse par rapport à d'habitude. Son père l'effrayait vraiment semblait-il... Oh cela pouvait se régler facilement. Quelques pierres jetées du haut des remparts ou encore une sortie totalement écrasante des fantassins sur le corps de Green et puis jamais plus elle n'aurait à craindre son paternel. Il allait d'ailleurs lui proposer l'idée lorsqu'il se ravisa soudainement, se rendant compte qu'elle n'apprécierait peut être pas tant que ça...

Soit.

C'est tout ce qui avait pu sortir de la bouche du Vicomte, qui réfléchissait déjà à ce qu'il se passerait si effectivement Dwiral s'excuserait auprès d'Aleks. Celle-ci redescendrait du castel bien sagement, pardonnant si facilement à celui qui l'avait insulté de la sorte ? Non. Ce n'était pas concevable, personne ne pourrait croire des excuses prononcées par le machiavélique et infâme Dwiral. Enfin, il en aurait certainement bientôt le coeur net, puisque ce gueux de Dwidwi allait se ruer aux pieds de Green pour s'excuser derechef, lécher les bottes c'est ce qu'il savait le mieux faire de toute façon, jamais il n'aurait le courage de faire face au Baron Rouge, lui le pleutre Seigneur qui faisait déshonneur à son suzerain Debenja, et qui pue des pied en plus (mais nan j'te provoque pas du tout pour pas que tu t'excuses Dwi ).

Soit.

Grand moment de solitude. Il crut pendant un instant qu'il venait de se répéter. C'est ce qui arrive lorsqu'on réfléchit de trop ça... Jamais il saurait s'il venait de répéter deux fois la même chose. Inquiétude, désarroi, tant de raisons possibles. Il esquissa un sourire tout de même à l'attention de la jeune femme, puis se pencha aux remparts, dans l'optique d'apercevoir l'origine de tous ces maux. Il était là, à hurler après Dwiral qui ne bougeait toujours pas.

Wait and see.

En pleine affaire avec une donzelle, fille d'un paysan du coin, Dwiral entendit un horrible cri pres de sa tente. Sortant la tete de dessous les jupons de la bergere, il rigola un temps.

Nom d'Aristote, Debenja a laché un Ours en Rut dans le campement. On dirait le cri d'un animal cherchant femelle pour s'accoupler.

chatouillant le menton de la donzelle a ses cotes, il se remit neamoins debout.

Desole, gente demoiselle, mais je pense que ces cris que l'on pourrait comparer a ceux d'un homme emasculer, sont sans doute pour moi.

Rapidement,il se rhabilla. et prenant son épée, il sortit de la tente.
..... ce n'etait pas un ours... enfin, c'etait pas loin. les etendards de Rougemont etaient deja montés. Donc, ce cri devait etre sans aucun doute celui de Greenwarrior.

Diantre, qu'est ce qu'il me veut ce sac a vin??! j'ai pas d'alcool a lui refourguer moi..

au bout d'une allée du camp, il tomba sur Green.

Greeeennnn mon ami! enfin.. Baron Greenwarrior, comment allez vous??!

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2008

Mal, très maaaaallll et j'ai besoin de toi.

Je veux que tu t'excuses auprès de ma fille dans le but de lui faire retrouver le chemin de la vertu.

Il s'adressa alors à son Comte muet.

Sire, qu'en pensez-vous?

Puis son regard revint sur Dwiral... Enfin sur son nez.

Où as-tu mis la tête? Ce glaviot poilu ne me dit rien qui vaille sur la qualité hygiénique de la personne t'ayant laissé ce présent.

Que .. quoi??? il faut que je fasse quoi??!!
hu hu hu hu

un petit rire sortie de la bouche du Seigneur de Chenevrey

et pour quels motifs devrais je m'excuser aupres de votre Fillote?! Je ne pense point etre le scelerat qui l'a engrossé derriere un arbre, comme si c'etait la premiere catin venue.

il regardait d'un air bizarre le Baron face a lui.

de plus, je n'ai point fais offance a votre descendance. Certe, j'ai envoyé jurons et autre cochonailles en direction de ces COUARDDDDSSSSSSSScria t'il en direction des murailles...

la Seul insulte que j'ai pue faire en direction d'une dame, et envers la vassale de ce maraud de Sirius. Cette Paysanne qui se prend pour la Reyne de France alors qu'elle ne que Seigneur et que son cul trempe encore dans la merdaille de cochons.

De ce fait, je ne m'excuserai point aupres de votre fillote. Je n'ai point pour habitude de demander pardon pour des choses que je n'ai point faite. Seul Aristote a ce pouvoir.

il souriait de façon a faire humble devant le Baron.. mais Dwi n'en pensait pas moins.

et puis quoi encore, il veut peut etre que je lui leche le fion en imitant le coq au petit matin. comme si j'allais m'excuser aupres de sa chiare qui se fait engrosser par le premier coquelet venue.
he he he.. je reverrai rapidement son education moi. hop.. ceinture de chasteté, et direction le couvent.
pensa t'il, pronfodement, en regardant le Baron droit dans les yeux.

Sirius attendait patiemment du haut des murailles que Dwiral s'excuse enfin, histoire de s'amuser un peu. Bah oui, pour s'excuser, le Seigneur de la porcherie de Cheverney devait s'approcher un tant soit peu des murailles pour qu'Aleks puisse entendre convenablement sa voix de fillette. Mais comme le Vicomte pouvait tout de même le voir, Dwidwi et Green était en pleine discution, et seul le mot "couard", beaucoup plus violemment hurlé, se fit entendre de la bouche du gros gueux.

Heureusement que d'en haut Sirius n'avait pu entendre le reste de ses paroles et qu'il ne savait lire dans les pensées. Il aurait sinon fait subir les pires tortures à ce dégénéré. Tout d'abord, il l'aurait solidement ligoté à un arbre, puis aurait commencé à lui arracher toutes ses dents une par une, n'hésitant pas à taper dans les plus résistantes à coup de latte. Ensuite, il aurait enfoncé ses dents une par une dans ses narines, jusqu'à ce que le gros ne puisse plus respirer que par la bouche. Lui arracher des touffes de cheveux semblait une bonne idée dans la mesure où ça rendrait Dwiral encore plus horrible qu'il ne l'est déjà, ce qui, je dois bien l'avouer, était plutôt dur. Il aurait ensuite jeté de l'alcool, quel gâchis, sur ce qui lui restait de chevelure pour ensuite y mettre le feu, histoire de tout crâmer jusqu'aux racines. Après, il lui aurait fait un test de résistance : combien de coups de boule pouvait se prendre ce pleutre sans faire perler une seule goutte de sang sur ce si affreux visage ? Et même si il saignait, le test aurait duré encore un peu... Et dès que son visage ne ressemblerait plus à rien, il s'en serait pris au reste du corps. Quelques coups de fouet dans le dos, des entailles au couteau de chasse sur le torse, les épaules brisées au bâton, un bras en moins p'tete... Il y aurait eu tant de possibilités si distrayantes.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2008

Soit, nous rêglerons cette histoire plus tard.

Il écarta légèrement lsur le côté gauche afin que son cheval se retourne et, avant de rejoindre la tente de commandement, il regarda, peut être pour la dernière fois avant une éventuelle bataille, sa fille.

Aleks, considère qu'il ne s'adressait pas à toi. Maintenant, à toi de choisir mais ne vient pas pleurer dans les jupons de ta maman si je te ramène attachée à l'arrière de Kanawa au cas où tu resterais dans ce château. De plus, Monseigneur Huon a accepté de te remettre en mémoire le livre des Vertus.

MON COMTE? FAUT SE REVEILLER LA.

Puis il partit au galop.

La jeune femme fronça les sourcils en entendant les dernières paroles de son père. La remettre sur le chemin de la vertu... Aristote ne commandait-il pas d'aimer son prochain ? Avait-elle blessé quiconque, ou commis acte d'adultère, en cédant à la passion qu'elle avait pour le vicomte ? Et Negan, sa fille, son adorable enfant, avait-elle davantage l'air d'une punition du ciel plutôt qu'une bénédiction accordée par lui ? La ramener à l'arrière de Kanawa... Et bien on verrait, on verrait. Aleks vouait un profond amour filial à ses parents. Evidemment, elle aurait aimé que la situation fut différente. Que son père ne soit pas là, aux côtés des ennemis de son amant, menaçant d'attaquer le castel sous peu. Ou bien que Dwiral le putride ait présenté les excuses demandées sans attendre. Elle ne lui en demandait pas forcément de sincères, mais la forme, au moins. Quand à dire que ces mots grossiers ne lui avaient pas été adressés... Pff, foutaises ! Elle ne se rappelait plus exactement (parce que si vous relisez, ça fait quand même un petit moment, hein, le temps de monter dans la chambre de la bonne, de revenir, d'attendre Sirius, et tout ça... ^^) les termes qu'il avait employés, mais elle se souvenait d'une chose, c'est qu'il l'avait désignée comme une vulgaire paysanne qui s'était faite engrosser quelque part dans un coin par Sirius. Pas le moindre respect pour elle, ni pour Negan, sans parler de celui du au Vicomte. De toutes façons, cet individu lui avait toujours semblé des plus antipatiques et répugnant.

Par pur esprit de provocation, elle se rapprocha de Sirius, saisissant sa main en étant davantage dans un esprit de défi que dans une marque de tendresse.

- Ah... Ils l'entendent comme ça. Très bien. Parfait. Magnifique. Superbe. Je reste.

Le vicomte ne répondait pas, il semblait concentré sur Dwiral. Peut-être à élaborer des plans de torture à son encontre, peut-être encore à tenter d'imaginer combien de vinasse le bougre devait s'enfiler par jour. En bas, Aleks regardait son père retourner vers le camp adverse, l'entendant vaguement appeler "son" comte". La bataille allait commencer.

- Epargnez tout-de-même mon père, murmura la jeune femme. Il changera d'avis à votre égard, tôt ou tard...

Comte de Villers-Buzon Nombre de messages : 290 Date d'inscription : 04/04/2007

Le Comte Debenja ne preta pas attention à la discution entre Green et Dwiral. Il savait que de toute façon cela allait se régler, autour d'une bonne bière si il le faillait mais cela serait vite réglé.

Puis il sortit de ses pensées lorsqu'il entendit le baron rouge l'appeller.

Oui, euuh, oui. J'étais en train de songer au chatiment que je réserve à Uruk. J'avais pensé, hum dite moi ce que vous en pensez : Je vais le pendre par les pied, cul nu, badigoné de miel devant la grotte d'un ours. Hum alors qu'est-ce que vous en pensez?

Puis le comte se dirigea vers la muraille.

Sirius ! Saulx, c’est zéro ! Des cailloux, des cailloux, des cailloux! MÉÉCRÉÉAAAAAAAAANTS ! Livre moi Uruk vite fait. Il n'est qu'un misérable. N'oublie pas que la fleur en bouquet fane, et jamais ne renaît ! Tempora mori, tempora mundis recorda. Voilà.

Puis se dirigeant vers Dwiral

Et bien ça, par exemple, ça veut absolument rien dire, mais l’effet reste le même, et pourtant j’ai jamais foutu les pieds dans une salle de classe !

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2008

Un gadin frappa le haut d'un créneau à la suite des paroles du Très Bon Comte.

Sire, j'ai des ballistes et des catapultes. Mais... Il est de mon voir de vous signaler que le Gam... Euh... le Comte Cartil se trouve présent avec sa cavalerie et il m'est avis qu'il n'est pas là pour nous venir en aide.

Puis il montra divers points stratégiques sur la carte des lieux.

Ne sacrifions pas les hommes pour rien, bombardons les points faibles tels que les portes et les créneaux au moyen de nos catatpultes. Un mangonneau et ses hommes devrait ariver bientôt . Concentrons nous sur le siège. Interdisons les entrées et les sorties, empoisonnons l'eau des douves et surtout... Mettons en déroute la cavalerie se trouvant là bas.

Il indiqua parfaitement la situation géographique de la cavalerie de Cartil.

Enfin, je sollicite de votre bienveillance ma demande de protection d'Aleks1611, elle est jeune et ne sait pas ce qu'elle fait. Je veux qu'elle soit indemne et même si elle gesticulera beaucoup, nous serons au calme en la baillonant.

Comte de Villers-Buzon Nombre de messages : 290 Date d'inscription : 04/04/2007

Debenja écouta attentivement ce que lui disait le baron rouge.

Huuum votre tactique me parait pas mal. Nous viendrons a bout du château sans problème j'en suis sur. Il est vrai que la cavalerie du comte Cartil nous posera problème. Mon bon Dwiral, as-tu une idée pour tous ces dadas qui nous embêtes?

Mon cher Green, sache qu'il ne sera rien fait à ta fille.

Dame de Genevrey Nombre de messages : 324 Date d'inscription : 01/05/2007

Hanadora était dans ses appartements personnels.
De sa chambre, elle entendait les cris et les exclamations du dehors avec un certain recul.
En fait, ces conflits na la regardait pas vraiment.
bien sur, elle était en partie impliquée en étant la vassale de Sirius. Suzerain qu'elle défendrait d'ailleurs jusqu'a son honneur.
Honneur qui était bafoué, de plus, en ce moment même par le scélérat Dwiral, qui malgré son titre tout aussi bas qu'elle, la considérait comme une paysanne, une fille de joie pour ces hommes brutaux et pervers comme lui.
Quel culot!! Lui qui était justement au même grade qu'elle, lui, qui était même plus bas qu'elle, se prenant pour le saint tout puissant à la tête d'une armée qui ne lui appartient même pas entièrement.
Lui, qui ose donner des ordres alors qu'il n'est qu'un seigneur, encore et toujours de pacotille.
Mais depuis le début de l'histoire, elle se demandait tout de même comment apporter de l'aide à son suzerain.
Se levant pour aller rejoindre les autre sur les remparts, elle se regarda dans le miroir.

ça va barder,...
Arrivant sur les ramparts, elle trouva Sirius en fort bonne compagnie.
Bon, quels sont les ordres? Que puis-je faire pour aider?

En grande reunion stratégique avec Debenja et Greenwarrior

Mon Suzerain, je pense qu'il serait interressant de fortifier notre position. des canassons, bah.. c'est beau, ça fait HUUUUUU et puis voila quoi. on met des pieux partout, quelques trous par ici et par la, et on colle des lanciers juste la au cas ou.
parce que bon, si on tape sur les nanards qui crapahutent dessus, ils n'auront rien, mais si on tape directement sur les canassons, ils vont moins faire les malins quand ces guguss seront a pied. vue le barda qu'ils se trimballent sur le dos, ils vont pas courir tres vite.

Au pire, on leur balance quelques chiens aux fesses et puis voila quoi.

faisant une petite pause, il reprit son petit discours.

tres cher Suzerain, il me semble que vous connaissez assez bien les points strategiques de ce chateau. Peut etre devrions nous faire cramer quelques parties de la batisse de ca canalliou de Sirius. peut etre le grenier, les reserves, l'ecuries meme. ou encore Mieux, directement sa chambre. il aura les poils du cul roussit comme ça.

lança t'il le sourire aux levres, l'idée de voir Sirius avec les fesses en lambeaux et courant se les coller dans de l'eau lui donnant envie de rire.

Comte de Villers-Buzon Nombre de messages : 290 Date d'inscription : 04/04/2007

Debenja écoutait ce que lui disait son bon Dwiral

Hum j'ai une idée qui me vient subitement. Faut faire comme avec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourés par le feu, faut faire un feu en forme de cercle, autour d’eux, comme ça ils se suicident, pendant que nous on fait le tour et on lance de la caillasse de l’autre côté pour brouiller… Non ?… ouai non ca fonctionnera pas. Ouai on fait comme Dwi a dit pour les dadas. Qu'en pensez-vous mon cher Green.

ou alors, on colle une dague sous le menton de Green.. et on rentre dans le chateau, en gueulant: rendez vous ou on butte le Baron.

humm.. mouai.. non. ce cretin de Sirius serait capable de tirer sur le Baron histoire de nous avoir. il est pas futé. un poid chiche dans le cerveau.

Comte de Villers-Buzon Nombre de messages : 290 Date d'inscription : 04/04/2007

fit comme tête Deb

Non mais ca va pas, et puis Sirius ne ferait pas ca Very Happy

il risquerait d'avoir des problèmes avec une certaine autre personne Rolling Eyes

Non mais de toute façon c'est pas une bonne idée ca

Dwi reflechissait. il regardait la carte. le dessin d'une petite riviere bordant le chateau lui donna une idée.

humm, sinon, on construit un barrage. Apres on lance de la caillasse de l'autre coté pour faire croire a ces cretins qu'on a traversé. Une fois qu'ils sont au milieu du pont, on casse le barrage et on les noie.

c'est drolement ingenieux hein?