[RP] Sus a l'ennemi de mon Suzerain.

Des sons de cors de Chasse resonaient dans la foret autour du domaine de Saulx. ici et la, on pouvait observer des animaux fuire. le Soleil, bien que couvert par bon nombres de Nuages grisonnant, eclairé de quelques rayons une caravane d'homme en arme en direction du Chateau du Vicomte Sirius de Margny Riddemark.

En tete de ce cortege, un homme. extremement beau d'aileurs, en tout cas, plus beau que Sirius!
armé et en armure, l'homme portait un bouclier frappé aux armes de Marnay.. mais d'autre chose. aussi. on aurait dit les armes de Chenevrey.

un porte etendard non loin de lui portait aussi ces armes.

Sirius, prepares toi a voir chaud aux fesses, ton chateau va bruler!

se dit alors l'homme en arme en arrivant au pied du chateau.

il venait d'arriver devant les Murailles du Chateau. En haut des remparts, il apercevait les etendards des Margny Riddemark claquer au vent.

OLLLAAAA, du Chateau... que le Vicomte se rende a nous ou nous vous assiegons!

revenant aupres de son cheval..

vous m'installerez le campement la bas. je suis sur que ce couard de Sirius va venir la queue entre les jambes et celle ci tramblante nous suplliez de le garder en vie.

Sirius venait d'être averti par un garde qu'une bande de troubadours puants et mal fringués étaient aux abords du château. Ils cherchaient certainement à venir jouer leur spectacle dans le château du Grand et Magnifique Vicomte de Saulx (plus beau que le vieux croulant qui dirigeait la troupe de troubadours en tout cas). Le Vicomte se rendit aux murailles pour se rendre compte par lui même de l'horreur que pouvait provoquer la vue de ces hommes.

Et effectivement, ce n'était pas beau à voir... Les couleurs de Marnay et Chevrenay ornaient leurs costumes, ce qui les rendait encore plus ridicules. Le Vicomte leva le poing en l'air et hurla :

Archers ! En position ! Faites moi déguerpir ces vils faquins d'ici ! Ils vont faire peur aux bons gens de mon domaine !

Il regarda l'homme à la tête de la troupe adverse et cria à son attention :

Mécréant ! Tu ne perds rien pour attendre ! Je vais te faire pendre tout nu et par les pieds à un poteau, tu vas voir !

Dame de Genevrey Nombre de messages : 324 Date d'inscription : 01/05/2007

Hanadora squattait déjà depuis quelques jours chez son suzerain.
Après avoir pris un dîner bien copieux, elle entendit pas mal de remous, et de cris au-dehors de la muraille.
Seule des brides de paroles arrivaient jusqu’à ses oreilles….

« OLLLAAAA … Vicomte se rende a ous vous ass… ons! »

Elle ne reconnu pas cette voix, et se demanda qui pouvait bien déranger le Vicomte à cette heure ci...
Cependant, quelques temps après une voix bien distincte, qu’elle reconnu imméditament se fit entendre,…

« Mé…. ant ! Tu… ne…. attendre ! Je … te …pendre ..ou…nu et par o…tea,…Voooir. »

Quelle étrangeté.
La jeune femme se leva, et sortit du salon. L’agitation se lisait dans les couloirs. Elle arriva aux murailles, et vit le Vicomte le poing en l’air.
Elle suivit alors son regard, et vit ce qui le mettait dans un tel état.
Un attroupement c’était fait en bas de la muraille.
Elle s’approcha du Vicomte.

Et bien ? Tu prévois une petite fête qu’il y a tant de troubadours qui arrivent ??

Sirius7 a écrit:: Mécréant ! Tu ne perds rien pour attendre ! Je vais te faire pendre tout nu et par les pieds à un poteau, tu vas voir !

le sourire aux Levres, Dwiral ecoutait tranquillement les paroles du chatelain. il lui cria en reponse:

Vil Gredin, je vais te rabbatre ton caquet. je m'en vais ici et maintenant, laver l'affront que tu as fais a mon Suzerain, le Comte de Villers Buzon et vicomte de Marnay, le Noble et sage Debenja de Margny Riddemark.

je vais prendre ton Chateau , vider les caves et surtout les caves, le bruler. Puis apres t'avoir torturé en t'attachant recouvert de Miel dns la foret, je te vendrai comme Esclave aux Barbaresques. Je tirerai de ton affreuse silouhette un bon prix.
Seul femmes et enfants auront la vie sauves sur les ordres de Mon Suzerain, votre Noble Cousin.
Noble Cousin a qui vous devez le respect de part son statut de Comte de Villers Buzon, espece de Maraud.

les deux choses qui sont d'apres toi belles et qui pendent bien, je vais te les couper et les doner a manger a mes cochons!

Crachant a terre pour signe de provocation, Dwiral se retourna derriere les quelques palissades que ses hommes avaient avec hardeur, construites.

ARCHERSSSS, preparez vous a viser les fesses de ce coquin!!

Sirius se tourna vers sa vassale/filleule/amie avec un sourire.

Je n'aurais pas choisis des troubadours aussi laids si j'aurais organisé une fête. Regarde les, ils ressemblent à des helvètes croisés à des provençaux, ces guignols !

Ma vassale, il va falloir repousser ces fripiers de mon domaine, ils empestent le fumier, tout le domaine va devenir irrécupérable ! Regarde ! Une bonne femme est en train de fuir devant la tronche de cet embourreur de mouches !

Le Vicomte tendit un arc à sa vassale puis se retourna à nouveau vers Dwiral en bas des murailles.

Larron-meunier ! Approche donc que je te plante une flèche dans ton gigantesque morceau de graisse qui te sert de séant ! Ca changera de ce que tu te prends d'habitude !

Pourquoi donc m'approcher espece de Bourse Molle!

QUI se cache derriere ses pales Murailles? qui est le couard parmit nous? Vil Baronnet, tu n'es qu'une chiabrena qui n'est meme pas digne de porter un titre de Noblesse!

se tournant rapidement vers ses hommes.

Envoyez moi donc une volée de fleches vers ce coquebert. Qu'Aristote en soit témoin, je lui ferai bouffé Mes chausses!

Une volée de Fleche s'elançat vers les murailles ou se planquer les couards qui servait d'armée au Vicomte Sirius.

HA HA HA .. regardes donc tes hommes freluquet, ils se cachent comme des mal propres. ce n'est que de la Merdaille de Soldat ça. les miens vont leur savater le cul qu'ils vont repartir directement n Helvetie voir la Mamie Nova!

Dwi s'enfila une razade de Binouse de sa cuvée maison. jettant un oeil en haut des remparts, il vit Sirius tendre un arc a sa Vassale en qui il reconnut Dame Hanadora.

MOUHAHAHAHAHA... le Vicomte serait il un veritable Maroufle comme le pense une partie des Francs comtois? au point qu'il refuse le combat et prefere se cacher derriere sa Gourgasse de Vassale!???

Par mon épée et ma jouvence, je vais arreter ici tes boniments envers mon Suzerain en t'arrachant la langue a la petite cuillere!
Prepares toi a Mortir, espece de Suppot de Catin d'Helvete. Rien n'y personne ne pourra m'empecher de Bastailler et de bruler ton chateau de paille!

le Seigneur de Chenevrey fit un mouvement du bras, signe que les archers pouvait tirer a vue, sauf sur le Vicomte que Dwiral se reservait en dessert

Dame de Genevrey Nombre de messages : 324 Date d'inscription : 01/05/2007

Dwiral, vassal de Debenja,… Didjou c’est qu’il cherchait vraiment les ennuis celui là.
Il allait entendre parler d’elle le Comte.
Hanadora pris l’arc que lui tendit son suzerain, et à ce moment, le toutou de Debenja donna l’ordre de tirer une volée de flèches.
Hanadora leva la tête, et marcha le long de la muraille sans qu’aucune flèche ne parvienne jusqu’à elle.
Pas une flèche n’atteignit un seul des hommes de Sirius. Elle vérifia si son parrain n’avait rien, mais non.
Ils ne savaient vraiment pas tirer. Ce qui l’amusait, c’était de voir le seigneur s’étriper à hurler des menaces.

Il n’ira pas bien loin avec des tireurs pareils… On n’a même pas besoin de se protéger.

Elle haussa les épaules, et entendit alors Dwiral accuser Sirius de se protéger derrière sa Gourdasse de Vassale !!
Gourdasse ???

Non mais c’est de moi qu’il parle le minus sur son poney la ??
Aaah mais ça ne va pas se passer comme ça ! Gourdasse ?

Elle se pencha vers le bas de la muraille, et cria :

HEY minus seigneur de pacotille, oserais-tu répéter ce que tu as dit là ?...
On règlera ça d’homme à femme t’entends ?

Sirius, fait lui manger son uniforme, et courir nu dans tout Saulx, enfin, fait lui ce que tu veux, mais laisse moi lui donner correction façon Hanadora avant ça!!

Hanadora a écrit:: Elle se pencha vers le bas de la muraille, et cria :

HEY minus seigneur de pacotille, oserais-tu répéter ce que tu as dit là ?...
On règlera ça d’homme à femme t’entends ?

Sirius, fait lui manger son uniforme, et courir nu dans tout Saulx, enfin, fait lui ce que tu veux, mais laisse moi lui donner correction façon Hanadora avant ça!!

Levant les yeux vers le haut des murailles, Dwiral s'amusait a regarder une femme piallait comme une poule.

Heyyy Cherie... je suis peut etre Seigneur de Pacotille, mais toi t'es pas non plus une princesse. t'as encore le cul dans la bouse et les pieds dans la boue. rappelle moi ton titre..
mouarfff.. il est pareil que le mien! Sauf que Moi, c'est pas une Bourse Molle de Vicomte qui m'a annoblit! le Sieur Debenja n'est pas un Couard, Coureur de Jupon qui engrosse la premiere Paysanne venue. Mais dis donc toi la haut, t'etais pas encore une paysanne il y a peu???

cria le Pontissalien en direction de la vassale de Sirius.

il fit un signe a son Escuyer qui lui apporta les dernieres pieces de son armures. Meme les fesses que tant de Pontissaliennes appreciaient tant etaient recouvertes et protégées.

Bon toi, prend un cheval et va prevenir Messire Debenja que ce rat Puant de Sirius, ce couard, se terre comme un lapin de garenne derriere les murailles de son pietre chateau. dis lui que je l'invite a venir combattre avec nous.

regardant un autre homme.

et toi, des qu'on a prit le chateau, la Gourdasse, tu me l'envoie directement dans un harem chez les Maures. ils aiment bien la franc comtoise il parait.

Aleks, qui se trouvait à Saulx par le plus grand des hasards - ses pas l'ayant menée curieusement, alors qu'elle rêvassait dans un bois des environs, jusqu'à la bibliothèque du Vicomte, située tout près de sa cha... de ses cuisines - se trouva réveillée par un boucan pas possible, pas loin des grilles du domaine. Elle enfila donc le mantel du Vicomte - qui, étrangement, trainait sur le lit d'appoint des cuisines... hum, cuisines situées... près de la chambre, étonnante disposition ! - et interpella un valet, qui ne se trouva pas capable de la renseigner. D'une humeur particulièrement irritée, donc, grâce à ce réveil on ne peut plus désagréable, elle ouvrit la fenêtre et chercha à voir ce qui se passait dehors.

Trois quatre pélerins s'étaient donc postés aux pieds de la muraille du domaine, et envoyaient quelques ridicules volées de flèches de temps à autres, entre deux insultes et quatre gorgées de gnôle. En haut, le Vicomte en personne, et Dame Hanadora, sa vassale, qui semblait particulièrement agitée. Il n'était pas difficile d'entendre ce qu'ils braillaient, tous, puisqu'après tout, le vacarme avait réussi à réveiller la jeune femme. Elle se contentait d'écouter et de regarder le spectacle, amusée, jusqu'aux dernières paroles d'un des deux hommes en bas. Cette voix, cette vulgarité, et surtout ce mauvais goût de l'accoutrement, aucun doute, il s'agissait de Dwiral !

Vérifiant bien que la ceinture du mantel était bien attachée, elle mit ses mains autour de sa bouche et usa de toute la puissance vocale qu'elle pouvait mobiliser (et ça faisait pas mal ^^) :

- Sirius, faut-il que je demande aux cuisines de faire préparer une bonne grosse marmite d'huile bouillante, ou bien voulez-vous vous réserver le privilège d'aller en personne botter le train à ce grossier personnage à qui le fromage de Savoie et surtout un surplus incroyable de liqueur ont fini par taper sur le système ? Si vous choisissez cette option, de grâce, empruntez des chausses à l'un de vos serviteurs, les votres sont toutes neuves, et il serait bien dommage de les souiller au contact de l'arrière train nauséabond de cet individu !

Ciel ! Que faisait-elle là! C'est ce que le Vicomte était en train de se dire en apercevant et surtout en entendant Aleks alors que sa vassale clouait le bec comme il fallait à Dwidwi le gros. Ah oui ! Il s'en rappela soudain et passa sa main dans ses cheveux en signe de gêne.

Hum...

Il mit à son tour ses mains en porte voix et hurla :

L'huile ira très bien ! Et bien bouillante ! Je veux que le moindre poux de son horrible crinière crâme entièrement ! La chose qui lui sert de génitrice ne doit pas le reconnaitre ! Et encore moins l'accepter à nouveau au domicile familial !

Merci !

Se tournant vers sa vassale qui s'égosillait encore :

Bah oui parce qu'il vit encore chez sa maman ce laidron...

ET IL SE PERMET D'INSULTER MA VASSALE, JE VAIS LUI DECOUPER SES NOIX ET LUI FAIRE BOUFFER PAR LE NEZ !

Sirius sortit son épée de son fourreau et la leva bien haut en hurlant.

FORMEZ NOS BATAILLONS !
MARCHONS, MARCHONS !
QUE LE SANG IMPUR DE CE TRAITRE ABREUVE NOS SILLONS !

Les grandes portes du châteaux s'ouvrirent soudain, suivie d'une déferlante de soldats aux couleurs de Saulx.

ET JE LE VEUX VIVANT QUE JE PUISSE LE FAIRE PENDRE A MES REMPARTS COMME DECORATIONS !

regardant le vicomte se dandinait comme une dinde que l'on allait saigné, Dwiral vit les portes du chateau s'ouvrir.

SUS A L'ENNEMI DE NOTRE SUZERAIN!!!!!!!

Je veux Sirius vivant, a poil, une noix dans le derriere , les deux bourses accrocher aux oreilles et mes chausses dans le gosier.
et Son Jouer en forme de Dame de je sais plus ou, vous me la coller aux lavages de mes braies avant qu'on l'envoie directos en directions du sultanan de je sais pas ou.

N'ayez pas de pitié pour ses merdaillons de Soldats, regardez les courir habillé avec des jupons!
mouhahahaha

Dame de Genevrey Nombre de messages : 324 Date d'inscription : 01/05/2007

Hanadora sourit du haut des murailles.
Décidémment, ce gros lourdaud n’était qu’un mâle sans scrupule, et sans aucun mérite.
Il ne mérite juste qu’une bonne correction. Que son suzerain allait sans aucun doute lui administrer dès qu'il aurait la main sur lui.
Princesse, ou pieds dans la boue, elle avait le meilleur suzerain et c’est ce qui allait être prouvé en ce jour même.
Elle banda son arc, et visa quelque un des soldats qui s’avançaient vers le château.

Alors, il est ou ton maître adoré petit poney ?
Il n’ose pas se montrer ? Trop craintif ? Il préfère envoyer ses serviteurs au combat ?

Elle entendit ensuite une femme proposer de l’huile bouillante !
Quelle richissime idée,…Mais qui était-elle au juste !?
Peu importe ; Pour le moment elle se concentrait sur ses flèches, et guettait l’arrivée du Comte Debenja, qui se faisait tant désirer.

Regardez moi ça les Gars ! Apparemment l'Vicomte de Marnay a engagé des Fantoches pour attaquer l'château de Saulx. Et c'est pour ça qu'la Dame de Granges nous a fait rappliquer ? Pour des poltrons pareil qui savent pas utiliser leurs joujoux ?... Ah bah, vlà maintenant le gros qui se dandine comme un coq, j'aurai tout vu moua.

Clama un jeune gus à l'horizon, placé parmi toute la lignée d'hommes vêtus d'armures en métal gris inaltérable, bombant leur torse pour montrer toute leur puissance. Sur les uniformes se révélaient les armoiries de Granges, celles-ci représentant trois aigles mal ordonnés sur fond azur. Soudain, le chef de la cohorte se retourna furtivement contre ses hommes armés pour leur annoncer ses directives; c'est qu'il fallait foutre une bonne raclée aux pourceaux hein, pas perdre une seconde. Sa mère-grand lui avait toujours dit de ne jamais perdre de temps, comme pour déguster un gâteau aux pommes, si on attend trop, c'est froid... 'Fin bon, là on dérape un peu du sujet initial... Reprenons !

QU 'ON ME FASSE QUATRE RANGÉES ! QU'ON SORTE LES ARCS, LES ÉPÉES, LES LANCES... MES ORDRES SONT SIMPLES ! QU'ON FERME ENFIN L'ORIFICE DE CE LARD. ET AUSSI A SES ZIGOTOS DE FEMMELETTES ! CE COMTE DE VILLERS BUZON VA REGRETTER D'AVOIR OSÉ VOULOIR ATTAQUER SAULX ET SON VICOMTE, AIMÉ DE NOTRE MAITRESSE.

Hurla t-il, tout en baissant sa main droite pour donner l'assaut.

Comte de Villers-Buzon Nombre de messages : 290 Date d'inscription : 04/04/2007

Le Comte Debenja était déjà en route pour Saulx lorsque le message de son vassal Dwiral le beau de Pontarlier arriva. Il compris que Dwiral avait déjà commencé la provocation, mais avait-il tout dit, la était sa crainte. Connaissant son vassal, il aurait déjà du commencer a provoquer et insulter toutes les personnes qu'il pouvait voir. Il hâta donc le galop de ses cavaliers pour aller rejoindre le campement installé par le seigneur de Chenevray.

Lorsqu'il arriva devant le domaine de Saulx, l'étendard de Marnay flottait déjà fièrement au vent. Pour sur, lorsque l'étendard de Villers Buzon serait ajouter, la crainte allait monter dans les rangs d'en face. C'était bien connu que les hommes du Comte étaient les mieux formé de tout le Comté. C'est le génial maître d'arme Greenwariror qui les avaient tous entraîné.

Le Comte, toujours sur son fidèle destrier Tornado, arriva près de Dwiral.

Foutre de dieu, tu as déjà commencé. Je le savais. Je t'avais mandé d'attendre aquiescement de ma part avant de commencer. Est-ce que tu leur as au moins dit pourquoi nous avions convoié jusqu'ici? Non je suis sur que non.

Le Comte en était sur. Dwiral était sûrement arrivé ici et avait commencé les provocations. Dans ce domaine, il était passé maître. Il s'avança avec sa monture vers le mur d'enceinte du château de Sirius.

Ohla, ne tirez plus. Je sais que le baron de Jussey est ici. Je suis sur que ce sottard doit trouiller dans une de salle du château. Ce Baronnet à sale trogne a voulu faire le malin avec moi, mais il ne fera pas épousailler ma soeur avec n'importe qui. Qu'il vienne ici prestement recevoir bonne correction et qu'il annule de suite le contrat pour les épousaille. Si cela n'est pas fait, je viendrai chercher ce chiabrena moi même.

Comte de Champagnole Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 28/12/2006

Depuis plusieurs jours maintenant, Cartil avait mobilise la cavelerie d'Arbois et de Champagnole, l'appelant a se regroupe dans son Chateau principal. Ses cinq divisions de cavalerie, soit 1500 cavaliers, avaient ete appeles. Meme ceux d'Elanor, Zelda et Sirius en etaient. Carti avait plus e cavalier que de fantassins en ses terres. Le but de cette manoeuvre n'etait pas un simple exercice, puisque celle-ci visait Jussey. En effet, quoi de mieux pour commencer l'annee qu'une bonne petite bataille ? Et en la matiere, la cavalerie de Champagnole commencait a forger sa reputation, tant leur entrainement etait difficile. Ceux-ci, habillles de bleus et de rouge, couleurs des domaines de Cartil, possedaient de grandes lances de plus de 5 metres, une masse pour perforer les armures, ainsi qu'une epee, pour trancher sans difficulte l'infanterie legere... Bien sur, leur bouclier etait assez grand, recouvrant leur moiti gauche jusqu'au genou, tandis que leur armure amenaint les plus ignorants se demander s'il y avait encore un homme sous cette masse de metal. Pour courroner le tout, les destriers possedaint tous une armure, augmentant ainsi leur masse, et donc le choc a l'impact lors d'une charge de cavalerie. La cavalerie de Champagnole et d'Arbois etait passee maitre en ce domaine. Capable de se regrouper, de former des lignes en un temps record, et de charger, lances en avant, avec une violence inouie. Nul ne survivait a une charge de cavalerie lourde. Survivre aux longues vouges de 5 metres n'etait en effet pas suffisant, car chaque destrier, approchant la tonne et lance a 30km/h deployait une energie a l'impact que rien ne pouvait arreter. De cela, les hommes de la Cavalerie de "Champ-Ar" etaient fiers.

C'est ainsi que tranquillement, epaules par quelques detachement de cavalerie legeres et tireurs montes, la cavalerie de Cartil faisait route vers Saulx, point de rendez vous pour l'attaque sur Jussey. Faire venir des fantassins auraient ete trop long pour ce jeu, Saulx compenserait bien comme l'avait promis son frere. Siriu devait retenir Uruk assez longtemps a Saulx pour permettre a Cartil de prendre Jussey et y planter les couleurs des deux freres. Une bonne idee qu'on avait eu la se disait Cartil, qui n'etait maintenant plus tres loin de Saulx.

C'est alors qu'il entendit d'ignobles crix raisonnes depuis le Chateau de son frere. Serait-ce une attaque ? Son avant garde agitait deja un drapeau d'alerte, manifestement, cela devait en etre une... Cartil fit convoquer ses estafettes afin de donner ses ordres a ses chefs de divisions. Il parcourut d'abord les quelques kilometres qui le separait de son avant garde avec ses generaux, tandis que ses capitaines regroupaient leurs hommes.

Qu'y a-t-il ? dit le Comte.

Le Chateau de Saulx est attaque Messire ! Il me semble reconnaitre les couleurs de Margay et Villers Buzon ! Messire Dwiral est avec eux ! repondit le Capitaine responsable de l'avant garde.

Quoi ? Cet infame cloporte de cousin ose nous trahir ??? Et il a amene du monde en plus ??

A cet instant, les capitaines ainsi que leurs troupes arriverent a hauteur de Cartil, prets a recevoir leurs ordres.

La seconde division a gauche, la troisieme a droite, la premiere avec moi au centre, on laisse la quatrieme et la cinquieme en arriere pour l'instant ! Tout le monde en formation de combat et parer a charger a mon commandement ! Veillez a tenir la ligne lors de la charge ! Aux armes mes freres ! Nous allons occir de la vermine aujourd'hui !

Comte de Villers-Buzon Nombre de messages : 290 Date d'inscription : 04/04/2007

Le Comte Debenja avait fait réinstaller son QG que son vassal, Dwiral, avait fait installer bien trop rapidement, avec l'idée de se battre de suite. Il était en train de réfléchir à une stratégie. Evidemment, Dwiral lui aurait dit d'attaquer tout de suite, mais Debenja avait une autre idée en tête. Il fallait les affamer. Bien sur la nourriture à l'intérieur du château de Saulx ne devrait pas manqué mais on ne sait jamais. Il déploya donc un peu moins d'un millier d'homme tout au tour de Saulx. Les grosses brutes sanguinaires de Dwiral étaient sur la route principal, ils avaient pour ordre de zigouiller tout ce qui leur paraitrait suspect. A n'en pas douter que cet ordre sera respecté. Le reste de ses hommes étaient à couvers sous des palissades fabriquées sur le chemin qu'ils avaient parcouru de Marnay vers Saulx. Là derrière, ils étaient à l'abris des archers du vicomte.

Les étendards de Marnay, Villers Buzon et Chenevray flottaient sur la colline face au Chateau de Saulx. Deb espérait que Hérimoncourt allait bientôt se joindre à eux.

Le comte Debenja était dans la tante de son QG en train d'écrire courriers en espérant reçevoir réponse rapide.

Dame de Genevrey Nombre de messages : 324 Date d'inscription : 01/05/2007

Hanadora était toujours à l’intérieur des murailles.
Voilà plusieurs heures que plus rien ne bougeait. À croire qu’il y avait eu un changement de tactique dans les troupes adverses.
Elle marcha le long de la muraille, et vit arriver le Vicomte, toujours tout en affaire, mais l'air un peu moins préoccupé par ce qu'il se passait.
Il revenait d’elle ne sait où, mais était pas mal décoiffé, et réajustait sa chemise comme il faut.

Hanadora haussa les épaules en souriant, et retourna son regard vers les troupes qui campaient en bas.

Je ne sais pas ce qu’ils préparent, j’ai vu un freluquet habillé comme un sapin de Noël arriver, mais je n’ai pas pu le reconnaître tant il avait de garde autour de lui.
Peut-être le Comte Debenja qui ose enfin montrer le bout,….De son costume.
Des renforts sont-ils prévut?

Sirius regarda sa vassale avec un petit sourire à l'énoncé des faits. Le boudeur de pacotille était donc finalement venu... Lui et son vassal en mousse allaient se prendre la fessée cul nu de leur vie. Les couleurs de Granges et de Champagnole se dessinaient à l'horizon, encerclant comme il fallait les assaillants.

Et bien, justement les renforts arrivent...

Sirius lui désigna du doigt les étendards qu'on pouvait apercevoir au loin.

Ils n'ont plus aucune chance ces sottards !

On rapporta au Vicomte les paroles de son cousin à propos d'Uruk. Sirius s'empressa alors de se pencher au dessus des remparts et hurla à l'attention de Debenja.

Puterelle ! Jamais, Ô grand jamais tu ne toucheras à un cheveu de mon vassal, autant grippeminaud qu'il put être ! Toi et ta bande de saltimbanques allez morfler ! De la truandaille comme la tienne j'en bouffe tous les matins au p'tit déj' !

Il repassa sa tête du coté de son camp et regarda sa filleule.

Ce foimenteor de cousin a même déjà fait installé des tentes et autres sacs à m**** le long de mes murailles ! Mordiable, je ne sais pas ce qui me retiens de sortir immédiatement et d'aller lui couper...

Il réprimanda un petit rire et s'aperçut soudain qu'il commençait à prendre froid. Son mantel avait disparu on ne savait où...

Baron d'Hérimoncourt Nombre de messages : 40 Date d'inscription : 15/11/2006

Le baron d'Hérimoncourt avait quelque peu trainé retardé par la paperasse héraldique lui permettant d'octoyer une seigneurie. Cependant, il avait mobilisé tout ces troupes.... soit 500 fantassins, pres de 100 cavaliers chevauchants de noble destrier, et une escouade d'artilleurs avec leur catapulte. Kryss sa femme, n'allait pas tarder, elle était partit chercher quelques femmes sur le domaine prete à être infirmiere.
C'est donc un peu avant la tombé de la nuit, que la corne du Baron d'Hérimoncourt retentit...et que le bruit des hommes approchant ce fit entendre.... quelques instants plus tard, on distingua l'étendart portant les couleurs rouge et or d'Hérimoncourt.
Quand la nuit fut tombé, Estelbad et ses hommes avaient déjà rejoins les troupes de Debenja.
Sans attendre plus longtemps, Estelbad alla signifier son arrivée à son frere et alla le saluer dans sa tente:

Salut frangin....a voir ta tete, on croitait que tu ai cru que ton petit frere allait t'abandonné Rolling Eyes

....Ah tu sais bien que ce n'est pas dans mes habitudes..... et puis en plus je ne viens pas seul, mon vassal, ne va pas tarder, il doit simplement prendre le temps de trouver son domaine et d'y mobiliser des hommes.
Bon sinon cette guerre familliale ça en est ou? On l'a eu le petit Uruk?

un cavalier au galop entra dans le camp du Comte Debenja. le Cavalier, en armure et armée jusqu'au dent, s'approcha de la tente du Noble Franc comtois.

Retirant son casque

que l'on me laisse entrer, je suis Dwiral , Seigneur de Chenevrey, Vassal du Comte.
l'air crétin des gardes de Debenja en disait long sur la façon que le comte avait de recruter ses hommes. Sans doute faisait il cela dans les caves de Marnay ou villers buzon, une petite coupette de vinasse a la main.

une fois qu'il eut decoller une mandale dans la tete d'un des deux gardes, Dwi entra dans la tente.

Mon Suzerain et ami, je m'en viens au rapport de ma mission.

sortant un plan de son sac, Dwiral le deplia sur la table du comte

mes hommes coupent la route de reapprovisionement du chateau ici et la. on a capturé des servants dans cette partie de la foret. Apres interrogatoires, ils m'ont juste appris que le Vicomte Sirius n'etait qu'un rustre et qu'il sentait mauvais des pieds aussi. on ne sait jamais, ce detail peut avoir de l'importance.

Sinon, j'ai remarqué que de cette colline, on avait une vue parfaite du chateau.

Dame de Sapois Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 01/11/2007

Accompagnée de deux jolies jeunes femmes, la Dame de Sapois s'était confortablement installée dans son carosse, emmitoufflée de son long manteau. À l'avant, deux chevaux allaient bon train et les conduiraient fidèlement à destination, mais la surprudence du coche équivalait sûrement à son vieil âge. Or Zelda se félicita d'avoir pensé à envoyer un pigeon en début de soirée, lequel préviendrait le Vicomte Sirius de son arrivée prochaine. Le Comte Cartil était quant à lui au courant de son départ précipité ; il la savait en route. Elle arriverait à l'aurore.

Citation :: Très cher Sirius,
Sachez que je suis en route et que je serai à Saulx au lever du soleil. C'est Cartil qui m'a mise au courant de toute cette histoire; il a réuni mes hommes (bien qu'ils ne soient pas très nombreux) et ceux-ci se joignent à vos troupes. Seuls mes archers ne sont pas dans les rangs. Ils sont... ailleurs. Disons cela comme ça.
Aussi, j'ai deux accompagnatrices qui se meurent d'impatience et qui souhaitent plus que tout rejoindre les tentes de votre cousin. Son vassal en profitera peut-être... Quoiqu'il en soit, je place en elles un espoir bien particulier. Peut-être saurez-vous suivre le fil de ma pensée.

Amicalement,
Zelda

Fait à Sapois, Comté de Champagnol,
le neuvième jour du mois de janvier mille neuf cents cinquante-six.

ELIGANNNN sortant de la tente de Debenja, Dwiral cria afin de trouver un de ses hommes.

Nom d'aristote, ou est donc passé ce bougre d'ane. Sans doute doit il se taper les cuisinieres de Debenja. j'ai bien vu qu'il les reluquait.

ELLLIIIGGANNNNN....

commençant a perdre patience, Dwiral se vida une petite chopine. il vit un homme tenant son froc par les deux mains, la chemise ouverte et de la paille dans els cheveux arriver en courant.

Maistre, me voila a votre service. que puis je pour vous? Fit alors l'ecuyer du Seigneur de Chenevrey.

tiens, prend cela et envoie le pr dessus les Murailles, c'est un parchemin a l'intention du Vicomte Sirius.

Il sera fait selon vos ordres Mon seigneur.

allez files, et envoies ce parchemin avant d'aller finir tes petites affaires.

faisant un signe de la tete, l'ecuyer fila en direction d'un groupe d'archers en position a porter d'arc du chateau. il ordonna a un des archers d'envyer le parchemin en direction des remparts. la fleche passe juste au dessus du premier mur d'enceinte et alla se planter dans un pan de bois du chemin de ronde.
on pouvait y lire cela.

Code:: Sur ordre de Mon Suzerain le Noble et sage Debenja de Margny Riddemark, Comte de Villers Buzon et vicomte de Marnay,
Moi, Dwiral de Sainte Binouse Seigneur de Chenevrey, je vous ordonne de vous rendre.
toute resistance est veine. si vous vous rendez, aucun mal ne sera fait aux femmes et aux enfants. Promesse est faite devant Aristote par le Sieur Debenja et l'ensemble de ses allies et vassaux.
Resistez et vous serez ecraser par nos forces qui sont tous les jours plus nombreuses.
les flammes bruleront vos corps et certains seront torturé par mes soins.

Dame de Genevrey Nombre de messages : 324 Date d'inscription : 01/05/2007

Hanadora revenait des cuisines ou elle avait été chercher un bout de pain et du fromage.
Le pain sortait du four, et était encore chaud dans ses mains.
Regardant par dessus les murailles, elle remarqua que rien n'avait bougé.

Elle allait passer à table, lorsqu'un des archers de Sirius s'avança vers elle, la reconnaissant sans doute en tant que vassale du Vicomte.
Il avait un message, qui, semble-t-il avait été envoyé par le foimenteor comte Debenja, ou par son truandaille de vassal.

Elle pris le message, abbandonna son pain et fromage au soldat, et accourut chercher son suzerain, pour qu'il puisse ouvrire le message.

De grans cris résonnèrent dans les couloirs de Saulx.

SIRIUUUUS, UN MESSAGE POUR TOOOI!!!

Une fois trouvé, elle lui tendis :

Spoiler:

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 17/01/2008

POOOOOOOWWWWAAAAAAAaaaaaaaaaaaaa

C'est au bruit des cornes que s'alignèrent des troupes de cavaliers légers et lourds, de fantassins légers mobiles et rapides ainsi que d'autres plus équipées munis d'épées à deux mains longues contre les cavaleries ennemies, d'alebardiers et même d'artilleurs à l'amont d'une colline donnant sur le château.

Derrière, deux cents hommes tiraient catapultes et balistes. 3000 âmes en tout, disposées à venir en aide aux assiégents pour qu'honneurs soient rendus. Les bannières rouges à l'aigle d'or flottaient. Ces troupes étaient celles du Baron Rouge, Greenwarrior de Rougemont. Cette armée paraissait n'être qu'une légende pour certains mais la voilà enfin, sortie pour la première fois.

Comment avoir autant d'hommes? Simplement par la valeur de l'entraide. Il y avait là des soldats, des artisans et des paysans. Tous entrainés pour défendre leurs terres, unis. Il n'y avait jamais de personne supérieure à une autre à Rougemont, juste du respect qui permettait une telle concentration humaine en ce jour.

Deux cavaliers avec moi et un étendard pour m'accompagner au campement de la colline en face. Les autres, couvrez-nous si le moindre danger nous asaille.

Ainsi, ils gallopèrent jusqu'au campement dirigé par le Comte Debenja le bien aimé sachant que des centaines d'yeux bienveillants et protecteurs leurs assureraient un passage sans danger.

Ils arrivèrent donc devant les mêmes gardes croisés par Dwiral peu de temps avant.

Veuillez annoncer la présence du Baron Greenwarrior de Rougemont et son armée à votre Chef si vos vigies ne l'ont pas fait... ET AU PAS DE CHARGE!!!