Passage d'une demoiselle tirant une charette

Une demoiselle tirant une charette à bras, arriva à proximité du domaine.

Elle était pas mécontente d'arriver, et ceux qui la voyaient se rendez bien compte qu'elle semblait fatiguée de par son voyage.

En apprchant du domaine, elle apperçue les deux gardes, et s'approcha deux pour leurs souffler ces quelques mot:

la demoiselle a écrit:

Bonjour....

Pou..vez-vous... faire savoir... au Baron et à la Baronne... Sirius7 et Ériphile ..de Saulx... que Davina Sah..vanturrah.. est ici, avec... une charette...
Ils devraient comprendre...
Bien ... le merci.. à Vous..

Sirius avait été prevenu par le garde. il s'approcha de la grille et sourit en apercevant Davina.

Je suis content de te voir

Entre donc

Sirius fit signe aux gardes de tirer la charette.

Pas la peine que tu te fatigues...Eri est à l'intérieur avec les jumeaux.

Heureuse aussi de vous voir et d'etre arrivée. Je ne dérange pas au moins?

J'espere que tes gardes feront attention à la charette, car elle n'est pas vraiment à moi, et son contenu n'est généralement pas destiné à etre briguebalé.

D'ailleur en parlant du contenu, il faudra que l'on pense à revenir le chercher plus tard ...

... au fait, avez vous quelques ciseaux à bois? J'en ai pris qu'un seul, mais plusieurs tailles seraient préférables.
En fait il me reste une retouche à faire avant de le faire voir. Je ne l'ai pas fait avant par peur que cela soit abimé par les chaos du voyage. De même pourrons-nous installer cela dans la pièce prévu à cet usage..

Mais auparavant, dites moi comment se porte Ériphile et les vos deux bambins...
Est-ce possible de les voir tout les trois?

Davina se prit à penser "Oùla quelle bavarde que je suis, dire qu'il y a cinq minutes à peine, n'étais-je capable d'aligner deux mots"


Enfin quoi qu'il en soit, je vous suis, vous en proffiterez pour me répondre en chemin, et me présenter votre charmante demeure...

Non tu ne déranges pas du tout. Nous savions que tu allais passer.

Oui les gardes feront attention ne t'inquiètes pas

Eri donne à manger aux jumeaux...Viens suis moi...

Davina Sahvanturrah, arriva par la meme route que celle l'ayant menée ici, en des temps plus heureux.

Elle avait le coeur peiné, en repensant à cette époque, réalisant que rien ne serait plus pareil, et que l'on ne peut malheureusement pas revenir dans le passé pour eviter que certains événement n'arrivent.

La demoiselle les traits tiré et tendus, s'approcha d'un garde qu'elle reconnue avoir vu la derniere fois, commençant à retirer sa cape de voyage et devoilant une tenue, noire, pour les occasions solennelles et prit la parole.

Messire, j'ai été invité par le baron à venir me joindre aux funérailles de feue Dame Ériphile, je sais que je suis fort en retard, mais je desirerai au moins une derniere fois pouvoir me recueillir et cellebrer Dame Ériphile, et faire preuve de mon soutient à sa famille. Aussi, j'espère que vous pourrez me guider afin que je puisse rejoindre les autres personne.

Le garde salua le demoiselle. Il ouvrit les grilles dans un silence absolu mais prit finalement la parole.

Bienvenue Dame Sahvanturrah.

Les autres sont à la chapelle.

La demoiselle salua le garde.
"Je vous remercie pour l'indication, tout à l'heure, je vous en remercie."lui dit-elle tout en recherchant dans sans besace.

Elle tendit alors un perchemin enroulé au garde, et trois dés dans une bourse.

Spoiler:

"Je vous prie de bien vouloir remettre le Parcemin à Messire Sirius7 Baron de Saulx votre maître. Le contenu de la bourse est pour votre pein, en quise de remerciement."

Le garde prit le parchemin et les bourses.

Merci bien m'dame. je transmettrais au Baron. Bonne routé !

Du chemin provenant de Vesoul, arrivait une demoiselle, allant à allure modérée,... elle ne se trouvait donc pas en situation d'urgence.

Modérée, comme elle savait l'être en diverse occasions, .. modérée,... comme si tout en marchant elle songeait à autre chose, ou n'était pas forcement attentive à sa marche.


Néanmoins lorsqu'elle arriva à portée de vue des deux gardes à la grille, la demoiselle Sahvanturrah avança d'un pas assuré, ne voulant pas avoir trop l'air d'une vagabonde aux yeux des gardes.

La frêle avait l'impression, qu'ils étaient entrain de passer le temps, en lançant, tantôt l'un tantôt l'autre, au sol quelques petits objets, pour les ramasser ensuite. Des dés supposa-t-elle, mais elle ne pu s'en assurer, car ils cessèrent très tôt,... dès qu'ils l'aperçurent.

Au bout de quelques minutes, les gardes eurent devant elle la demoiselle qui après avoir relevé son capuchon leur demanda, si Le baron était présent, tout en leur faisant un peu part de la raison de sa venue.

Semblant comme éreinté par le voyage,...

une demoiselle à dos de cheval ayant les jambes poussiéreuses,... depuis le chemin menant vers l'est,... arriva au pas, plus par confort de voyage sembl-t-il que par usure de la monture,...

Elle avait la mine déconfite,....

Et pourtant,... semblait empreinte d'une secrete sereinité.

La jeune cavalière arrivant enfin à la grile se pencha un peu,.. tenants les rennes d'une main,.. une sorte de paquet de tissu de l'autre.
Elle pu alors s'adresser aux gardes s'en trop élever le ton.

"Mon brave,... pourriez vous faire savoir mon arrivée, au maître de ces lieux, Messire Sirius De Margny-Riddermark, Vicomte de Saulx." Elle espérait ne pas s'être trompée,... Car, en procédant ainsi,.. elle voulait faire savoir qu'elle ne se trouvait pas la par hasard,.. et que le garde accepte de transmetre le fait de son arrivée, malgré, la piètre image quelle pouvait renvoyer en de telles circonstance.

Elle repris alors:
"Le Vicomte est censé etre au courant de mon arrivée prochaine,.. si tel n'est le cas,... dites-lui qui je suis,.. cela devrait l'inciter à venir.
Je suis damoiselle Davina, dite Sahvanturrah, Elde von Waldenburg, Ambassadrice de Franche-Comté pour le Baden, et provinces germanophones."

La damoiselle se redrssa,.. puis attendit.
Par moment, le petit paquet semblai bouger,.. Le vent s'en doute!!

La demoiselle attendait depuis force durée,.. deja,.. elle venait de rajouter un châle autour du paquet.
Avait-elle chaud? par ce vent, l'on pouvait en douter.

Le garde étant allé cherché le vicimte ne semblait pas revenir...
Une grande inquietude la tourmentant et l'impatience commençant à la gagner, elle se prit l'audace de s'adresser au trois gardes restants.

"Si le vicomte ne disire me recevoir,. qu'il le fasse savoir,.. en attendant pouvez vous alors me faire quérir son fils Eiddin,.. capitaine de la garde de Saulx,.. Je pense que l'un devous peux aller le faire chercher,.. ce n'est pas moi qui frêle, seule, risque de mettre à bas de solides gaillards tels que vous."

un certain desespoir et certain doute començant à se muer en certitude,.. quelque larmes perlèrent le long des pomettes de la demiselle,.. qui séchainet avent même d'atteindre le manton.

Tandis que le troisième garde parti dans le sein du dommaine la demoiselle balançait subrepticement de gauche-droite le paquet qu'elle portait.